Enfants

Je tiens à vous remercier d’avoir eu le courage d’exprimer en toute franchise votre conception et votre philosophie de vie. Votre partage est maintenant semé dans mon cœur et il produira des fruits. Cela m’a déjà aidé. Par exemple, hier soir, je suis allé à Sherbrooke pour rencontrer mon petit dernier (25 ans) qui passe un moment difficile. Je voulais lui dire que je l’aimais et que je priais Dieu de lui donner la force d’accomplir Sa Volonté. Nous avons beaucoup discuté. À peine revenu chez moi, il m’a téléphoné pour me dire : « Papa, merci de t’être dérangé. Je t’aime beaucoup. »

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Je voudrais vous dire que la prière « Parce que l’Amour t’aime, tu deviens l’Amour » me sert beaucoup pour mon travail. Je suis chauffeur de car. Lorsque j’effectue des transports scolaires, je transporte une cinquantaine d’élèves. Une fois qu’ils sont dans le car, je récite une cinquantaine de fois cette prière pour être sûr que chaque jeune ait eu la sienne. C’est une prière que j’utilise beaucoup ! À bord du car, en roulant, je peux aussi prier le chapelet dans ma tête.
Je fais aussi partie du Mouvement Sacerdotal Marial. Depuis un an et demi, le Seigneur m’a donné de grandes grâces et je vis pleinement en accord avec ce que vous avez reçu dans vos messages. Je prie pour vous et vous remercie pour tout ce que vous apportez au monde entier.

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Je commence à comprendre et à vivre ce que Jésus disait : « Vous serez dans la jubilation. » Je n’arrête pas de sourire et de rire comme un enfant. Chez moi, je ne marche plus… je danse en avançant, en sautillant comme un enfant ! Je me mets à sourire et à boire des gorgées de joie, et ce, même lorsqu’il n’y a rien d’extraordinaire autour de moi. Je découvre et redécouvre sans fin l’extraordinaire qui m’environne et qui m’aide à Le contempler dans une joie parfaite.
Dernièrement, j’ai rêvé que je me levais à 5 h du matin, dans le pays de Jésus : je voyais les champs, les bergers, les moutons, les clôtures, le paysage rural et les douces collines ; et Marie et moi marchions ensemble pour aller à la rencontre de Jésus ressuscité. Depuis ce rêve, Dieu m’a guéri de certaines tentations de la chair. Dieu opère même dans nos rêves, j’en suis témoin !
C’est à Jésus, à travers vous, que je dois le bonheur que je vis continuellement, 365 jours par année.

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Il y a près de deux mois, je marchais et cela n’allait pas du tout moralement… j’étais très déprimée. En chemin, j’ai rencontré une amie et lui ai raconté mon état. Elle avait en main le premier volume « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus » et elle l’a ouvert pour me lire deux lignes. Cela m’a tellement touchée que j’ai tout de suite fait les démarches pour me procurer les trois volumes. Je suis persuadée que c’est une grâce, car un peu plus tard, une amie m’a invitée à une retraite du même nom.
Aujourd’hui, j’ai eu de la peine parce que j’avais envoyé une invitation à ma fille pour une retraite pour les jeunes et sa réponse a été : « Ce n’est pas mon truc. » Sur l’heure, cela m’a beaucoup blessée, mais heureusement que je suis tombée sur votre prière qui dit qu’il faut accepter les autres tels qu’ils sont sans vouloir les changer. Cela m’a réconfortée.

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J’ai participé à votre retraite avec un tout petit groupe à Delémont (Suisse) au mois d’août. Depuis un certain temps, je demandais au Seigneur de me trouver un autre travail au lieu d’être engagée en Église. Je m’occupe surtout de la catéchèse des enfants. Vous m’avez confirmé que le Seigneur me veut à cette place. En effet, j’ai commencé au mois de septembre dernier ma nouvelle année pastorale, mais pour la première fois, c’était sans peur, avec paix et assurance.
La semaine passée, j’ai pris des petites cartes de pensées avec moi pour le catéchisme. Lors du temps de la prière, les enfants de 9 ans ont pris chacun une carte, ils ont pu la lire aux autres. À la fin du catéchisme, un enfant est venu chez moi et m’a dit : « Cette parole sur cette carte, elle est vraiment vivante ; ça fait plusieurs jours que je demande à Jésus si c’est vrai qu’Il est toujours avec moi et la carte m’a donné la réponse. » Voici un petit clin d’œil du Seigneur.

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Mon passage parmi vous aura contribué à me donner de belles grâces. Avec le matériel que vous m’avez laissé, j’ai pu faire plaisir et faire du bien à quelques personnes. Le livre « Grand-papa Léandre raconte » a nourri le lien entre une amie à moi et sa petite fille qu’elle gardait pour une semaine. Elles avaient hâte que le soir vienne pour poursuivre la lecture du livre. J’ai aussi offert le livre « Le Bonheur de Vieillir » à ma mère et à mon oncle. Celui-ci a été très ému et a souligné que ce livre arrivait au bon moment dans sa vie. Maman aussi a bien apprécié faire le point sur les engagements qu’elle doit laisser et l’éclairage de ce livre à ce sujet. Les DVD de la retraite auront servi à une dame qui a une très grande foi. Elle était tellement heureuse qu’elle disait que c’était comme si Jésus lui disait qu’Il l’aime à travers ce présent. Je lui ai dit que c’était probablement cela ! Elle m’a dit par la suite que c’était une des plus retraites qu’elle avait vues et que le Seigneur continuait de la guérir. Les volumes « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus » sont entre les mains de mon directeur spirituel qui a promis de les lire. Déjà, lors de mon dernier passage, il a été touché, car nous avons ouvert le livre et je lui en ai lu un passage qui lui a beaucoup parlé. Aussi, j’ai parlé avec la responsable de la catéchèse du livre « Grand-papa Léandre raconte » pour le parcours des enfants et je lui en ai remis un. Elle a été emballée et trouve que tous les moyens qui peuvent mener une personne à l’amour du Christ sont bons.
Voilà les fruits féconds des outils de foi des Choisis de Jésus. Ils m’ont servi à propager Son amour.

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Le Seigneur m’a donné la foi et la grâce de pouvoir être catéchiste dans ma paroisse. Par grâce aussi, j’ai découvert les messages de Jésus à Ses choisis, et ils sont pour une vraie nourriture. Cette découverte a coïncidé avec une action providentielle de Dieu que je vous partage :
Au cours de la veillée Pascale, quatre enfants de 10, 7 et 4 ans seront baptisées. L’une d’elles, en arrivant dans mon village après un déménagement, était attirée par l’église. Quand elle y est entrée, interpellée par la lumière rouge du tabernacle, elle s’est avancée et a alors entendu dans son cœur : « Crois en Dieu. » Levant la tête et voyant un homme sur une croix, elle s’est dit : « cet homme, je ne le connais pas ! » Quelque temps après, avec ses trois voisines, elles venaient à l’église pour « prier le Dieu qu’elles ne connaissaient pas ». Mon père qui était là les a invitées à entrer. Voyant qu’elles ignoraient tout de Dieu, il me les a présentées et c’est une grande joie pour moi d’avoir accompagné ces enfants jusqu’au baptême.
Ce dimanche, deux étaient enfants de chœur pour la première fois. Ce sont elles qui ont demandé à l’être. L’Esprit Saint fait vraiment de belles choses, des merveilles ! La rencontre providentielle de ces enfants m’a conduit à méditer les messages de Jésus dans « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus ». J’ai vu, de nombreuses fois, que ce que je lisais, je le vivais avec ces enfants. Dans les moments difficiles, les messages de Jésus ont été une vraie bouée de sauvetage, et le Seigneur m’a fait découvrir la richesse et la fécondité de la patience avec ces petites filles. Les grandes joies ont été vraiment grandes ! Que le Seigneur soit loué, béni, glorifié et remercié pour cette histoire sainte qui se continue maintenant avec les parents de ces fillettes.

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« Tu comprends que si tu veux être Mon instrument, tu devras respecter la même liberté chez ceux ou celles que Je mettrai sur ta route. »
Cette phrase m’interpelle ce matin, car je comprends de plus en plus que nous sommes vraiment des instruments dans les mains du Seigneur. Pour certains, cela pourrait paraître comme une forme d’esclavage, mais pour moi, ce n’est pas du tout la même chose. J’aime à penser que ce Dieu dont j’ai découvert l’amour inconditionnel agit pour mon bien et attends le moment propice pour mettre sur ma route la personne qui m’éclairera.
Ce matin, en empruntant la voiture de mon fils, j’ai réalisé l’état de ses pneus et le danger qu’il courait en la conduisant. En rentrant, je l’ai « sermonné » et lui ai donné de quoi changer ses quatre pneus.
Ce soir, avant de repartir chez elle, une personne qui travaille chez moi depuis de longues années et qui avait tout entendu m’a dit : « Madame, n’oubliez pas de remercier le Seigneur de vous avoir permis de rouler ce matin avec la voiture de votre fils, de vous rendre compte du danger qu’il courrait et d’avoir pu faire le nécessaire pour éviter le pire. » Je suis restée hébétée, car je n’y avais pas pensé… En lisant la « Pensée du Jour », j’ai remercié doublement cette personne. J’ai réalisé que c’était Dieu qui l’avait mise sur ma route pour me donner ce beau et pieux conseil.
Quelle joie dans mon cœur pour cet enseignement !

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Vos messages sont si beaux ! Même si je n’ai que 11 ans, je comprends quand même les choses et je sais que Jésus est toujours là pour nous.

Pour lire la « Pensée du Jour » : http://www.fcdj.org/pensee_du_jour/lire_la_pensee_du_jour_1

Tous les jeunes se préparant aux sacrements du Pardon, de l’Eucharistie et de la Confirmation ont reçu un exemplaire du livre « Grand-papa Léandre raconte », publié aux éditions « La Fondation des Choisis de Jésus » en 2005.

À l’occasion du thème de Zachée exploité en catéchèse, l’histoire « Antoine, le méchant et Antoine, le bon », tirée de ce livre, a été lue aux enfants par un grand-papa. Ils ont écouté le récit avec beaucoup d’intérêt et d’attention. Après la lecture, ils ont échangé, en groupe, sur ce qui les avait le plus touché. Tous les points importants ont été retenus : la sérénité que l’on ressent à poser des gestes bons, le désagrément que l’on éprouve quand on commet un geste mauvais, les dangers qui guettent la socialisation et l’appartenance à un groupe, l’influence bienfaisante de « La plus belle et la plus importante Histoire du monde » dans le revirement des cœurs et, de là, le geste de compassion d’Antoine envers le chef du gang opposé qui avait fait une mauvaise chute à vélo. La fin de l’histoire rapprochant les deux gangs autour du message d’amour de Jésus convenait bien à nos jeunes pour qui le bien en vient toujours à triompher du mal. Ces derniers ont sans doute compris aussi que ce même amour de Jésus, cette même compassion les attend, chacun personnellement, dans le sacrement du Pardon.

Lien vers le livre « Grand-papa Léandre raconte » : http://www.fcdj.org/upload/home_books/Book_GPLR_fr_web.pdf