Je viens vous adresser mes encouragements et vous dire merci pour les Pensées que je reçois tous les matins. En réalité, ces « Pensées du Jour » sont pour moi une nourriture matinale, à un tel point que, lorsque je me lève sans la lire, ma journée n’a pas de sens et je tourne en rond.
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« Accueillir, Bénir, Comprendre » (ABC), c’est quelque chose qui m’a posé bien des problèmes ! En théorie, cela a l’air simple. En pratique, c’est une autre histoire : comment faire pour accueillir un problème ou un malheur ? Je n’étais vraiment pas capable d’une réaction positive d’accueil face à cela. Pourtant, c’est vrai que pour donner un problème à Dieu, il faut d’abord l’avoir accueilli. J’ai demandé à la Vierge Marie d’accueillir le problème pour moi ou de m’aider à l’accueillir, et quand on demande ce genre de chose à la Vierge Marie, on obtient toute l’aide nécessaire, je peux le confirmer. Une première étape était franchie !
Deuxième étape : Bénir. Bénir le Seigneur pour un problème ou une souffrance, je dois avouer que cela n’avait pas de sens pour moi. Mais, comme le Seigneur nous demande d’avoir la foi, je me suis lancée. J’étais sincèrement angoissée par un problème et, en plus, j’avais très mal physiquement. J’ai dit sans réfléchir : « Seigneur, je Te bénis de me faire vivre ce problème. » Puis, non seulement la solution est venue très facilement, mais en plus, je me suis rendu compte que tout cela avait permis d’éviter l’apparition d’un autre problème, en plus de renforcer mon couple. Là, j’ai compris !
Accueillir, Bénir, Comprendre ! C’est une sorte de certitude presque physique que Dieu s’occupe de tout si je Le laisse faire, si je ne Lui lie pas les mains avec mes conditions, mes doutes ou mes angoisses. Il a fallu quelques reprises avant que cela devienne spontané, car j’étais une personne très angoissée. Mais, en l’espace de quelques mois, cela a changé du tout au tout.
Une autre chose est importante : Bénir le Seigneur pour un problème ou une souffrance Il résout toujours les problèmes beaucoup mieux que nous-mêmes ! Si nous agissons ainsi, que nous le bénissons pour le problème et qu’en plus, nous acceptons d’en subir les désagréments par amour pour Lui, Il nous comble infiniment… même s’Il semble prendre Son temps pour nous répondre. Une chose est sûre, Il nous gardera dans la paix jusqu’à ce que le problème soit entièrement résolu. Et cette paix-là n’a pas de prix !
Une fois le problème résolu, n’oublions pas de remercier le Seigneur et évitons de nous en attribuer le mérite. Pour ma part, je suis tellement consciente que tout me vient de Dieu (la solution et la paix intérieure), qu’il m’est impossible de m’attribuer un quelconque mérite.
Cela fait maintenant un peu plus de quatre ans que j’ai appris que le Seigneur m’avait choisie. Il ne cesse de me faire avancer sur Ses Chemins depuis. Je vis effectivement dans cette sensation d’être comblée qui me donne la joie et me mène à la jubilation. Mais, lorsque mon chemin croise un frère ou une sœur de sang ou en Christ, qui est dans le désarroi, je pleure avec cette personne. Hier encore, j’ai croisé ma sœur qui se dit athée, alors qu’elle a été baptisée. Elle m’a parlé de ses fils en désespérance, sans foi ni d’autre dieu qu’eux-mêmes, qui lui reprochent en permanence de n’avoir pas reçu d’elle l’essentiel.
Moi, je vois bien que l’essentiel dont ils parlent, c’est l’Amour de Dieu. Ils n’ont pas manqué d’amour de la part de leurs parents ni de quoi que ce soit d’humainement fondamental. Je lui ai dit de faire bénir sa famille, mais comme elle le dit, cela n’a pas de sens pour elle. J’ai ressenti son immense chagrin qu’elle n’arrivait pas à dire et depuis, je ne cesse de pleurer lorsque je les présente au Père. Pourtant, ces larmes ne m’empêchent pas d’entrer dans la joie et la jubilation.
Pour recevoir un message dans la foi : http://www.fcdj.org/recevoir-un-message
J’avais prêté mon livre « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus », Volume 1, à une amie et je n’avais toujours pas reçu les deux autres volumes. Pendant deux semaines sans ces lectures, je me suis sentie perdue ou plutôt déconnectée, vide. Je viens de les récupérer et quel bonheur de me retrouver enfin par ces lectures! Je retrouve le lien, je ne me sens plus seule.
Merci pour tout ce que je vis grâce à vos livres. Merci de m’avoir permis de dire Oui par le premier livre et de pouvoir aller encore plus loin avec les suivants.
Lien vers les volumes « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus » : http://www.fcdj.org/bibliotheque/livres_pour_le_bonheur_des_miens_mes_choisis_-_jesus
Hier, il m’est arrivé une désagréable aventure qui aurait pu me démoraliser gravement : j’ai perdu, bêtement, le manuscrit que je suis en train d’écrire, important, où Jésus a une grande place. J’ai failli craquer en pensant au travail colossal que cela allait me demander, même si j’en ai une bonne partie sur papier.
Juste au moment de ce fait, l’appel d’une jeune fille dont la maman – une amie intime – vient de mourir, m’a permis de sortir de moi, de relativiser les choses. Ensuite, hier soir, j’ai prié le Seigneur de m’aider. Et ce matin, merci beaucoup ! La lecture de votre message du jour me remet dans le Seigneur, me permet de croire que ce signe a un sens, que tout vient de Lui, qu’Il ne m’abandonne pas et me gardera toujours. C’est justement ce message que je veux laisser dans mon futur livre : comment, à travers les quatre deuils successifs vécus dans mon enfance et mon adolescence, Jésus m’a sauvée, au-delà des souffrances extrêmes et du chagrin, en se servant aussi d’une main humaine par la thérapie.
Le message 82 du Volume 3 « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus », dont une phrase m’avait interpellé, m’a beaucoup aidé à vivre une situation que j’avais prise trop à cœur. Trois jours après, le Seigneur me fait découvrir petit à petit les richesses de cette situation. Je ne devais pas chercher à comprendre le sens de cet événement, mais me laisser conduire par l’Esprit Saint comme l’enfant se laisse conduire par ses parents.
Clique ici vers les volumes « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus »
Le livre « Pour le bonheur des miens – 42 ingrédients pour parvenir au sommet » est une occasion toute privilégiée de repenser et de choisir à nouveau le sens que je veux donner à ma vie. Ce n’est pas peu dire ! Chaque fois que j’en relis des passages, je retrouve le brin d’oxygène, ainsi que les repères dont j’ai besoin. C’est extraordinaire ! Cela me touche beaucoup et me donne le goût d’y revenir. Les exemples concrets que vous y apportez, de même que les faits vécus, ajoutent des accents persuasifs. Ils déclenchent en moi des réflexions que je peux appliquer dans toutes les facettes de ma vie. Ils raffermissent mes convictions. Ils me donnent de l’élan, l’énergie et me poussent à l’action. Je dirais même que vous nous ouvrez des pistes nouvelles pour mieux vivre l’Évangile de Jésus-Christ aujourd’hui. C’est un témoignage comme le vôtre qui donne des ailes à ceux qui vous lisent et vous regardent agir. Continuez !
Les Pensées que je reçois m’aident à relever la tête dans le flot incessant, parfois sans beaucoup de sens, de l’activité des « choses de la terre ». Merci de continuer à me les envoyer.
Une religieuse témoigne, après avoir découvert les livres « Pour le bonheur des Miens, Mes Choisis. Jésus » :
La spiritualité de ces volumes est vraiment inspirée par le Seigneur. Comme je suis chargée de la bibliothèque du monastère, je pense faire profiter mes sœurs de ces livres. Ce qui est dit sur le sort des personnes qui se sont suicidées (Vol. 1, No 151) est très profond et fait preuve d’un sens théologique authentique. Je suis vraiment heureuse de ces textes.
Lien vers les volumes « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus » : http://www.fcdj.org/bibliotheque/livres_pour_le_bonheur_des_miens_mes_choisis_-_jesus
Puisque le message 74 du tome 2 de « Pour le bonheur des Miens, Mes Choisis. Jésus » m’y invite, je vous transmets mon témoignage, non pour ma gloire personnelle, mais bien pour Jésus.
Le mercredi, lors de ma pause du midi, j’ai pour habitude d’aller passer une heure en compagnie de Jésus dans le Saint-Sacrement. Durant ces moments, je lis un ou plusieurs passages des volumes « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus ». Aujourd’hui, je suis arrivé à ce beau message 74, qui a commencé comme une surprise : « Tiens, Jésus me parle directement ! Quelle joie ! »
Au fil de la lecture, je comprends, comme c’est écrit, que ce que je lis se passe présentement et que je devrais normalement ressentir quelque chose… mais je ne ressens rien encore. Quand j’arrive à la fin du message où il est écrit « Enfant de mon cœur, Je t’aime, Je t’aime, Je t’aime… », je m’effondre en larmes au troisième « Je t’aime ». Je le ressens encore maintenant, une heure après.
Je ne suis pas un comédien et je ne pleure pas sur commande, mais il est vrai que je suis sensible et ce n’est pas la première fois que je pleure ainsi pour des raisons similaires. La première fois, c’était le 15 août 2010, lors de ma conversion. Je crois que Jésus aime se servir de ma sensibilité pour me faire comprendre qu’Il est là et qu’Il agit.
Clique ici pour lire les volumes « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus »
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